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A la Une
Les canoës, remplis de Jussie à jeter à la benne.
© Hugues Ithurriague
Journée citoyenne
12 tonnes de Jussie et de détritus
Le 1er octobre à Lattes, 120
étudiants STE se sont mobilisés sur les bords du Lez pour arracher une
plante invasive qui détruit l’écosystème local : la Jussie.
Par équipes de deux et à bord de canoës, les étudiants ont ramassé, de
9h30 à 16h00, plus de 12 tonnes de Jussie et de détritus.
Une action écologique et citoyenne (c'est la 7e édition du
genre !), complétée par une initiative pédagogique : les étudiants ont
également sensibilisé 110 élèves d’école primaire au cycle de l’eau
naturel, à son traitement, au recyclage des déchets et à la notion
d’espèce invasive.
"Nous avons aussi eu l’occasion d’échanger avec les riverains qui passaient par là, commente Mélissa Gerodolle, étudiante en STE 5. Cette journée fut une expérience intergénérationnelle enrichissante, dans la bonne humeur et avec beaucoup d’efficacité."
Une opération menée en collaboration avec et en présence de
nombreux partenaires institutionnels, dont le syndicat du Bassin du Lez
et la mairie de Lattes, ainsi qu'avec l’appui de la Fédération de
Canoë-Kayak et des clubs Montpellier Eaux Vives ainsi que Palavas Kayak
en mer.
Contacter Mélissa Gerodolle
Autre photo
(nettoyage des roubines de Lattes)
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Bientôt
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Mardi 20 octobre à 18h
Des conférences informatiques ouvertes à tous
Mardi 20 octobre à 18h, le Java™ User Group
(JUG) organise une conférence, ouverte aux étudiants et personnels de
POLYTECH Montpellier, qui portera sur les objets connectés (Internet of
Things) et les drones.
L’occasion de rencontrer experts et professionnels dans une ambiance
détendue et conviviale.
"Le JUG de Montpellier existe depuis 2010, explique Arnaud Castelltort, président de l’association.
Depuis 2011, chaque mois, nous organisons des réunions dans les
locaux de POLYTECH Montpellier.
Le JUG est une association rassemblant des entreprises, universitaires
et étudiants, échangeant autour de la technologie JAVA et son
environnement, c’est-à-dire le web, le mobile, les objets connectés,
etc.
Chaque mois, nous rassemblons entre 80 et 120 personnes autour d’un
sujet différent, faisant intervenir des experts de France et
d’ailleurs.
Les réunions peuvent intéresser non seulement des
étudiants en informatique, mais également ceux en électronique ou
d’autres branches possédant une expertise dans le domaine informatique."
Les réunions du JUG ont lieu une fois par mois dans l’amphithéâtre Serge Peytavin.
Contacter Arnaud Castelltort
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Mardi 20 octobre à 15h30
Conférence sur la responsabilité sociétale d’entreprise
Pierre
Gondé, responsable Affaires réglementaires et RSE chez McCain, donnera
une conférence ouverte à tous, intitulée "Stratégie RSE développée par
McCain".
A 15h30
Dans l'amphithéâtre S.
Peytavin
Bâtiment 31
Photo : Pierre Gondé.
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Actualités
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Matériel pédagogique
Un broyeur pour étudier
la céramique
Une
nouvelle machine est arrivée dans la salle de TP Matériaux du bâtiment
18 fin septembre : un broyeur planétaire, qui va permettre aux étudiants
de travailler sur des échantillons de céramique.
"Cet appareil sert à broyer énergiquement des matériaux afin d’obtenir des poudres très fines, explique Philippe Papet, enseignant en MAT.
On presse ensuite la poudre pour former une pastille que l’on cuit à
haute température (entre 1000 et 1500 °C) afin d’obtenir une
céramique.
La finesse des grains fait varier les propriétés de la matière, par
exemple la conductivité électrique ou la résistance mécanique."
Comment fonctionne le broyeur ?
Dans des petits bols en zircone, un matériau très solide, on place des
billes en zircone et la poudre que l’on souhaite broyer.
Les bols sont ensuite fermés hermétiquement, puis fixés au plateau.
Les bols effectuent une rotation sur eux-mêmes, tandis que le plateau
aussi tourne à une vitesse qui peut atteindre 800 tours par minute,
conférant ainsi aux billes un mouvement planétaire : elles effectuent
une demi-rotation à l'intérieur du bol et sont ensuite catapultées
contre la paroi opposée.
"L’intérêt de ce broyeur est la petite quantité de poudre qu’il
travaille (de 5 à 25 grammes), ce qui permet aux élèves d’étudier des
échantillons, avec peu de perte de matière."
Contacter Philippe Papet
Photo © C.
Imbert
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