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Formation
DO : la nouvelle formation par apprentissage
La
spécialité Développement informatique et exploitation Opérationnelle
(DO) formera, à partir de la rentrée prochaine, des ingénieurs par
apprentissage, possédant la compétence de développement logiciel et
d’administration système et réseau, capables de gérer toute la chaîne de
développement, de tests, d’intégration, de déploiement, de maintenance
et de surveillance et le suivi des applications dans les environnements
Cloud.
C'est la quatrième formation de l'école qui accueillera des élèves-apprentis.
Celle-ci délivrera, au terme des trois années de formation, un diplôme d'ingénieur reconnu par la CTI.
Pour le lancement de la formation DO, une vidéo de recrutement a été
réalisée sur la technique du "motion design".
Elle sera utilisée lors de journées portes ouvertes ou forums des
métiers pour inciter les jeunes bacheliers à rejoindre Polytech
Montpellier.
N’hésitez pas à la partager sur vos réseaux !
En savoir plus
Découvrir la vidéo (Youtube - 2'45'')
Voir la plaquette
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Nos people
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PFE MAT
La compensation carbone de l'école
Paul
Bantula, MAT5, a travaillé sur une étude de faisabilité d’une
compensation carbone volontaire de l’école.
Engagée dans une démarche DDRS, l’école dresse un bilan carbone depuis
2011*.
Aujourd’hui plus que jamais, ces questions sont d’actualité… Quelles
seraient les solutions pour compenser les émissions carbone de Polytech
Montpellier ?
"Le système de compensation obligatoire concerne les grandes
entreprises polluantes des pays ayant signé le protocole de Kyoto.
Celles-ci sont soumises à des quotas annuels, et en cas d’excès, payent
des amendes ou bien peuvent compenser en participant, par exemple, à un
projet forestier ou à la construction d’un parc éolien en Afrique etc., explique Paul Bantula.
La compensation volontaire concerne surtout les établissements publics, les particuliers ou les petites entreprises."
D’après le bilan carbone établi en 2017, les déplacements
représentaient 74 % des 1 433 tonnes CO2eq.
Cela comprend les déplacements du personnel, des étudiants
(stages/semestres, activité du BDE) et les déplacements
domicile-travail.
En 2019, les déplacements constituaient toujours la majorité des émissions : "1 729 tonnes
CO2eq (soit environ 692 vols aller-retour Paris / New-York
pour un seul passager), dont 48 % proviennent des déplacements des
étudiants (822 tonnes CO2eq), 46 % des déplacements
domicile-travail (804 tonnes CO2eq) et les 6 % restants des
déplacements du personnel (97 tonnes CO2eq)", précise Paul Bantula.
Ces déplacements sont distingués en trois principaux types : trajets
domicile-travail en voiture (33 %), stages à l’international en
avion (25 %) et les stages des apprentis en avion (15 %).
"Avant de compenser, on peut réfléchir à réduire ces émissions :
privilégier les stages en Europe plutôt que vers des destinations
lointaines, inciter les personnels et étudiants à utiliser des
transports doux, proposer une aide financière lors de l’achat d’un vélo,
construire un garage à vélo sécurisé, rembourser l’abonnement TAM…", propose Paul Bantula.
Pour compenser les émissions carbone, certains établissements
choisissent de s’engager dans des projets de proximité : par exemple,
l’école d’ingénieurs à Strasbourg ENGEES a noué un partenariat avec un lycée agricole pour la plantation de haies végétales.
Pour Polytech Montpellier, un nouveau bilan carbone est prévu en 2021.
D’ici là, un plan d’actions sera mis en place.
Contacter Paul Bantula
* Calcul basé sur l’outil Bilan Carbone, développé par Jean-Marc
Jancovici.
Le principe est de traduire toutes les émissions sur une même unité (GES
= Gaz à effet de serre) pour pouvoir ensuite les compenser en kilos ou
tonnes CO2eq (équivalent dioxyde de carbone)
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